(06/01)
et si on changeait d'air. revoila la traque. horrible, comme je ne glande magistralement rien, on va pas faire comme si j'avais pas la trouille. je suis completement flippée. m'enfin, ça s'voit pas comme ça. non mais alors, j'ai les jambes qui tiraillent-leurs-mères, mais j'ai trop envie de retourner courir sous la pluie. quand les loupiotes de la citadelle éclairent l'eau frémissante, avec de la musiquecontactfm. tout plutôt que faire des maths. bonne année ?
j'ai vu "2008 sera plus doux" et "2008 sera impitoyable"
2008 a dejà été impitoyable. connard. le fait est, que je ne comprend plus rien. mais que je vais faire comme si ça passera. objectivement. tout va bien pour ma gueule. seulement là bientôt maintenant, je vais devoir prendre des décisions. genre des trucs monumentaux. moi ? donc objectivement je suis mal. "they say the future is out to get you"
et puis aussi, cette rentrée va être velue (métaphorique, tout le monde se calme).
comme si je m'étais pas pris une brique dans la tronche a 24h de l'euphorie postchampagne.
comme si. le recul, c'est chiant. quand on se dit, bordel j'étais vraiment bien. et qu'on sait ce que faisait son espoir2007 pendant ce temps là. quand on se dit,
le fun : être la fée clochette, danser sur che plus quoi les bras en l'air, s'affaler par terre, et tout ça;
le moins fun : t'as perdu tout ton crédit, alors que jm'étais fait grillée par la moitié de la planète, tu fais/tu dis n'importe quoi. ça n'a plus la même saveur. fallait pas l'embrasser. pour rien en plus. tu t'en souviens même pas. on verra demain hein.
heureusement. la musique en intraveineuse, le ipod en perfusion. les chansons de jeunots excités; qui sentent le coeur d'artichaut; ou la vodka-yeux fermés; les 70's; et puis tout.
ça fait vraiment longtemps. maintenant. il s'est tellement passé mille trucs pour revenir au point zéro.
j'ai perdu le jolicoeur. (ou du moins pour maintenant)
et j'aimerais assez que 2008 = aurevoir la propention au drame. bonjour la teuf. (bonjour le bac aussi) mais bon.